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D’un coût de 500 milliards de francs CFA, pour la première phase, le port de Ndayane suscite une vague d’ambitions économiques dans le cadre de la deuxième phase du Plan Sénégal Emergent (PSE II). Prévue pour être un port en eau profonde de 18 mètres, s’étalant sur 600 hectares, avec une capacité de 10 000 conteneurs, l’infrastructure sera l’une des plus importantes en son genre en Afrique de l’Ouest. L’objectif est de remporter la bataille de la compétitivité portuaire en raison de la position stratégique du port.
En effet, le port de Ndayane offre une belle opportunité de connexion à la Zone Economique Spéciale Intégrée, tout en bénéficiant de la proximité de l’Aéroport International Blaise Diagne de Dakar (AIBD). La première phase sera composée d’un (1) kilomètre de quai, soixante dix (70) hectares de zone portuaire et cent cinquante (150) hectares de zone logistique et de zone franche.
Une enveloppe de 500 milliards de francs CFA sera également mobilisée par la deuxième phase du projet.
Lors du Conseil des Ministres d’hier, mercredi 8 mai 2019, le Premier Ministre, Ministre d’Etat, Secrétaire Général de la Présidence a fait le point sur le bon niveau d’avance du projet.
@BIG
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